Beaucoup de gilets jaunes ont eu affaire à la police puis à la justice. Le film met en lumière trois affaires qui n’auraient jamais dû avoir lieu.
A force d’entendre qu’il y avait du monde qui finissait en prison, je suis allé voir du côté du tribunal ce qui s’y passait. Le procès d’Odile Maurin peut apparaître comme une caricature, elle a été malgré tout condamnée. Ce que les CRS et les canons à eaux ne pouvaient réussir à faire, un jugement y est parvenu : interdiction de manifester ! Puis au détour d’un entretien, j’apprends que plusieurs des personnages que je suivais ont étés en garde à vue, ou même en prison.
Sans prétendre à dire que tous ceux qui se sont retrouvés en cabane ne l’avaient pas mérité, je peux juste constater qu’ils-elles n’étaient ni des casseurs, ni des violents. Leur principal défaut n’était-il pas d’être des fidèles des manifs du samedi qu’il fallait décourager ?
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